Visite en Corrèze, sur les hauteurs de la rivière Dordogne. Beaucoup de bois et de grands arbres, avec de remarquables noyers américains (Juglans nigra) aux noix énormes, véritables boules de noël. Mais aussi de nombreux châtaigniers, et comme c’est la saison, nous avons ramassé les châtaignes. Puis patiemment, épluchage des coques pour concocter de la bonne crème de marrons. Très vite un gros tas d’épluchures c’est entassé sur la table. A cela était mélangé des peaux d’ails, car Martine a fait des conserves de légumes fermentés, en même temps. Nos amis utilisent une cuisinière à bois pour se chauffer et cuisiner. Devant ce gros tas de restes végétaux, j’ai mis le tout dans une boite métallique et hop dans le fourneau pendant 30 mn. Résultat un très beau charbon végétal. Que j’ai aggloméré dans un moule.

Le fer à braise est tout en cuivre
Un type d’écochar (briquette de charbon), châtaigne/ail, 100% développement durable car je me suis servi du chauffage de la maison sans utiliser d’autres énergies.
Je n’ai pas vu de loge charbonnière dans ces bois. D’après certains anciens, il y aurai des restes de four en fer. Dans les temps passés, les gabares (bateaux à fonds plats) étaient chargées de charbon de bois et partaient d’Argentat en direction de la Garonne et Bordeaux.








Les premières briquettes de charbon végétal à partir de lupins sont réalisées.

Alors les lupins, vous allez pas envahir l’Islande aussi facilement !


Il existe tout un tas de techniques pour fabriquer des « briquettes » ou « galets » de charbon de bois à partir de poudre de charbon.

Suite à sa mission avec la Croix Rouge à Macenta, en Guinée Conakry, pour la terrible épidémie d’Ebola, mon fils Antonin a gardé des contacts positifs avec des acteurs de terrain guinéens. Regroupés dans l’association (ou ONG) COOPEDA, ils développent des programmes d’autonomie énergétique, dans le solaire principalement.
























































































